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| Kim Au japon octobre 2005 |
Première étape: Kyoto.
Lundi 10 & mardi 11 octobre
Cela fait maintenant la 20me fois que je vais au Japon et pendant ces voyages j’ai pu visiter une grande partie de Niigata et voir une masse de koï; d’où ma décision de m’imprégner davantage de l’ambiance japonaise.
Nous entamons donc notre périple dans une des villes les plus passionnantes du Japon, Kyoto, où nous passons deux jours pour visiter les temples, les parcs (avec étangs !) et les rues typiques qui rappellent le charme du Japon d’antan.
Lors d’une promenade le long d’un ruisseau à l’eau claire, j’aperçois un koi, et non pas un magoi, mais un vrai kohaku!
Et nous voilà repartis: Niigata, nous arrivons!
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Mercredi 12 & jeudi 13 octobre.
Le séisme qui a sévi au Niigata date déjà de presque un an et je me demande quelles en seront les conséquences pour l’ikéage (récolte des poissons d’étang). |
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Les activités sur les routes et chemins nous montrent en tout cas que le gouvernement n’est pas resté oisif: des bulldozers, des grues et des travailleurs partout!
Et les éleveurs s’y sont mis également. Je me demande s’il existe une expression japonaise pour « abandonner”!
En un laps de temps de quelques mois on est parvenu à reconstruire des serres entières, bassins compris.
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Le premier éleveur que nous allons voir est Torazo, renommé pour ses kohakus, sankés & showas.
Il y nage aussi des goshikis et des heseinishikis.
On se risquerait aux nouveautés?
Malheureusement, les prix sont plutôt élevés et nous poursuivons dès lors notre route vers Sakazume qui, comme de coutume, a sorti ses bacs bleus afin d’attirer les “amateurs” passants.
Je sélectionne dans la serre quelques beaux nisais budo goromo et showa.
La première commande est placée!
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La veine du jour: Shinoda!
S’il fallait en croire les nouvelles de l’année passée sur internet, cet éleveur aurait disparu avec koï et tout de cette terre. Il est vrai que l’on y voit encore beaucoup de dégâts aux maisons et chemins, causés par les glissements de terre, mais chez Shinoda presque tout a été remis en état.
 Ce sont principalement les splendides sansais (trisannuels) doitsu gosanké qui se font remarquer! Ils viennent d’être récoltés et nous sommes donc les premiers à pouvoir choisir. Après deux heures d’examen à l’épuisette et de pourparlers, on est tombé d’accord pour une sélection de 12 ravissants sansais. Il s’agit de doitsu sanké, de doitsu kohaku et de doitsu showa, tels que nous les préférons.
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| A un endroit nous trouvons encore de splendides beni kumonryu. ( et je ne dirai pas où exactement). Il y a déjà quelque temps que nous avons pu en présenter dans notre établissement, car ils sont rares à trouver.
Une chance de plus pour notre journée! |
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Nb visites aujourdhui :
442
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